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Dans un quartier populaire de Sidi Belabbès, en Algérie, des
histoires dites « ordinaires ». Les écrasés ne sont
pas des chiens errants mais des êtres humains, capables de raison et
de sentiments. Ces "tranches de vie" sont inattendues, sinon invraisemblables, pour les personnes ignorant
ce qu’est la vie d’un peuple.
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